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Quelque 500 urgentistes se sont réunis à La Timone à Marseille pour participer au fameux Copacamu, un collège grandeur nature qui permet aux différents corps de métier intervenant dans la prise en charge des urgences de compléter leur formation.
Malmenés pendant l'épidémie de grippe, en début d'année, qui avait conduit à la saturation de leurs services, les urgentistes, témoignent de l'évolution de leur métier.
La Provence qui fait le bilan de cette grande réunion explique:
"Les services d'urgences, s'ils suscitent l'innovation, en matière de transmission des images notamment, ou de contrôle du patient par monitoring pendant son transport, doivent aussi imposer leurs contraintes au monde hospitalier dont elles sont issues.
" Aujourd'hui on demande aux urgences d'aller de plus en plus loin dans la prise en charge du patient comme l'imagerie qui pourrait se faire dans les services mais aussi parce que la médecine de ville se décharge de plus en plus, on assiste à une présentation spontanée de nombreux patients ", explique Philippe Jean, chef de service de l'hôpital Nord.
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