Menu
Courir en extérieur demande de propulser le corps vers l’avant foulée après foulée.
Cette succession de propulsions exerce une pression importante sur les jambes, les pieds, sur les chevilles au contact du sol.
Ces mécanismes musculaires et articulaires sont réduis sur tapis de course, en raison de son roulement sous les pieds qui impose une allure et un effet d’entrainement vers l’arrière.
L’absence de déplacement du corps sur le tapis provoque un mouvement constitué de petits pas qui raccourcit l’amplitude de la foulée.
Le travail de poussée sur la jambe arrière rendu moins intense, les ischios-jambiers (muscles derrière les cuisses) sont peu sollicités.
Courir en intérieur augmente la température corporelle, élève le rythme cardiaque provoquant ainsi une possible perte de vitesse de 1km/h par rapport à la vitesse de course en extérieur.
Courir sur du bitume est plus traumatisant pour les articulations, les tendons, contrairement au tapis de course qui les préserve en amortissant, en absorbant les chocs.
N’étant pas confronté à la résistance de l'air lorsque l’on court sur tapis, la vitesse de course est différente de celle pratiquée en extérieur. Pour s’en rapprocher, il faut mettre le tapis à une inclinaison 2 à 3 %.
La course sur tapis peut être monotone et provoquer une fatigue, une usure mentale que l’on ne retrouve pas en extérieur.
Dans les deux cas , l’une de ces deux pratiques vous permettra de garder ou de retrouver la forme, d’améliorer vos capacités cardio-vasculaires et respiratoire.
Les réactions
La réaction aux articles est réservée aux membres.
Réagissez
Nouveau ?
La réaction aux articles est réservée aux membres.
Inscrivez-vousDéjà membre ?
Mot de passe oublié ?