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L’équipe du Loren Lipworth du centre médical de l’université Vanderbilt dans le Tennessee s’est intéressée aux femmes qui ont la poitrine refaite et à leur état mental.
Selon les résultats de cette étude publiée dans la revue scientifique Annals of Plastic Surgery le constat est alarmant.
En effet, les chercheurs ont démontré que les femmes qui avaient des implants mammaires auraient des tendances suicidaires trois fois plus élevées que les femmes qui ont une poitrine naturelle.
Pour en arriver à ce constat, les équipes du Dr Loren Lipworth ont analysés les causes des décès de 3 527 patientes suédoises qui avaient souhaiter de se faire poser des implants mammaires entre 1965 et 1995 pour des raisons esthétiques.
En 10 ans, 175 de ces femmes se sont données la mort. Pour les chercheurs la chirurgie esthétique n’a pas guérit les souffrances psychologiques de ces femmes qui ont voulu changer d’apparence.
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