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#Pédopsychiatrie. Mercredi, une unité unique en son genre de soins i ntensifs pour adolescents (Usia), située à l’hôpital Nord, à Marseille a été inaugurée.
Ouverts depuis le 5 janvier 2016, cinq lits sont dédiés aux adolescents âgés de 12 à 18 ans, « dans différentes situations de crises qui peuvent être bruyantes ou silencieuses », explique la responsable du service, le Dr Agathe Benoit de Coignac. « Une unité de courte durée d’hospitalisation qui se veut être en lien étroit avec les partenaires qui s’occupent des adolescents car sans eux on ne peut pas faire grand chose. »
Une équipe de 32 personnes dédiée à une prise en charge pédopsychiatrique sur mesure, évolutive en fonction de l’évolution clinique des patients, afin de parer à la décompensation et éviter ainsi « la chronicisation et les pathologies de l’âge adulte ».
Gilles Moullec, directeur de l’hôpital public de santé mentale Edouard-Toulouse, a dévoilé l’origine, médicale, du projet en 2009. « La concrétisation des demandes des pédiatres de l’hôpital Nord et d’Edouard-Toulouse, du fait qu’il n’y avait pas d’établissement dans le département pour recevoir les adolescents en crise. Cela entraînait des difficultés. Ils sont allés voir le directeur de la Dass de l’époque, M. Coiplet. Il a monté des groupes de travail » qui ont conclu à l’évident besoin de créer une structure, « en particulier à Nord mais sous la responsabilité d’Edouard-Toulouse ».
L’objectif est d’assurer la continuité du parcours de soins psychiques de l’adolescent. L’admission peut se faire soit à partir des urgences générales ou pédiatriques après une évaluation somatique et un avis pédopsychiatrique, soit à partir de lieux de consultations ambulatoires, après un accord préalable d’un médecin de l’USIA. L’USIA peut accueillir à la fois des situations d’urgences psychiatriques aiguës, mais aussi des urgences ressenties comme telles par l’entourage.
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Bonjour,
Ma fille a été admise dans cet unité que j’assimile à une prison, les enfants n’ont pas le droit d’avoir un téléphone et chaque appel est surveillé et le personnel n’hésite pas à hurler sur les enfants lorsque la vommuni ne leur convient pas, de plus les méthodes employées pour faire avouer des choses inexistantes aux enfants m’a choqu, ils font du chantage ( pour les permission), afin que les enfants disent des choses fausses car on ne les croit pas. La pédopsychiatre est très fatigué, limite au bord de la dépression (presque plus de cheveux alors qu’elle a la trentaine) et elle est dans le jugement sans connaître les tenants et les aboutissant, ne vous laisse pas vous exprimer et de toute f cela ne sert à rien puisqu´elle vous a déjà jugé et condamné!!! Ma fille est encore plus mal maintenant qu’elle a été admise dans cette structure!!
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