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Cette proposition a été émise par la Direction générale du Trésor, qui a publié ce jeudi une étude sur le coût socio-économique des kilos en trop. L'obésité gagne du terrain en France: 5 % de la population en 1980 contre 15 % aujourd'hui.
Selon l'étude cela coûte 17 milliards d'euros en dépense de soin pour l'assurance maladie (diabète, hypertension, depression, etc.) dont 7 milliards pour les journée non travaillée.
"Alors qu'elles représentent un peu moins de la moitié de la population, les personnes obèses ou en surpoids contribuent à une part plus élevée des dépenses de santé (56 % pour les soins de ville et probablement davantage à l'hôpital). L'excès de poids entraîne en effet des conséquences sanitaires particulièrement néfastes : à la fois sur la morbidité, en accroissant le risque de contracter une maladie chronique, et sur la mortalité (13 % des décès en Europe étaient imputables à l'obésité en 2002). Cette dernière reflète également d'importantes inégalités sociales puisqu'elle est sur représentée chez les ménages modestes" indique le communiqué.
Le coût financier de l'obésité est comparable à celui du tabac ou de l'alcool." Le coût social de la surcharge pondérale avoisinait 20 Md€ (1 % du PIB) en 2012 soit un montant comparable à celui de l'alcool et du tabac. "
Aussi, voici pourquoi une taxe concernerait des aliments en fonction de leur "niveau de calorie" ou de la "qualité nutritionnelle".
À noter c ependant, que l'excès de poids permet de faire 7 milliards d'économies sur les retraites car on vit moins longtemps lorsqu'on a un embonpoint prononcé : entre 3 et 8 ans de moins.
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par
morandini
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