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Quand le cœur de quelqu'un s'arrête, chaque seconde compte. Peu importe si un homme ou une femme effectue une réanimation ? Pas certain !
Les chercheurs ont démontré que les équipes de réanimation féminines ont effectué une réanimation cardiopulmonaire moins efficace que leurs homologues masculins.
L'étude bâloise suggère qu'il est nécessaire d'agir dans la formation des jeunes femmes médecins.
Il existe une différence si une femme ou un homme effectue les premiers gestes après un arrêt cardiaque.
Les femmes sont en particulier moins bien notées pour ce qui est des commandements lors de réanimations, écrivent des chercheurs de l'Université et de la Clinique universitaire de Bâle dans la revue Critical Care Medicine.
Ceci peut influer sur les chances de survie du patient.
L'étude a pris en compte 108 étudiantes en médecine et 108 de leurs camarades masculins.
Dans le cadre de leurs études, ceux-ci sont formés à une communication efficace lors de réanimations.
Malgré ce même niveau, les équipes féminines ont été moins bien notées lors des simulations de réanimation, indique l'Université de Bâle.
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