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En raison de problèmes de distribution de moustiquaires et de médicaments à cause du coronavirus, près de 400.000 personnes supplémentaires pourraient mourir du paludisme cette année, selon l'Organisation mondiale de la santé (OMS). Déjà au Zimbabwe, le nombre de cas de paludisme a bondi de près de 50% par rapport à l'an dernier.
"Il est probable que des patients atteints du paludisme restent chez eux au lieu d'aller se faire soigner" à l'hôpital de crainte de contracter le coronavirus, estime Norman Matara, de l'Association zimbabwéenne des médecins pour les droits humains (ZADHR).
Le bilan des morts du paludisme en Afrique sub-saharienne pourrait approcher les 770.000 cette année, soit "deux fois plus qu'en 2018", a relevé l'OMS, alors qu'a lieu samedi la Journée internationale de lutte contre cette maladie, qui contrairement au Covid frappe particulièrement les enfants.
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