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Plus fréquente chez le garçon, elle apparait entre 6 et 13 ans, surtout à l'entrée à l'école élémentaire et à l'arrivée au collège. Lors du départ en classe, l'enfant pleure, supplie ses parents.
Si on le force, la crise prend un aspect dramatique : il s'enferme ou se sauve.
Dès qu'il n'est plus contraint par cette situation, il se calme, promet d'y aller sans difficultés "plus tard" et redevient facile et coopérant dans tous les domaines.
Selon certains, les formes graves de l'adolescent risquent de s'accompagner d'une marginalisation sociale, de délinquance, d'organisation perverse ou psychopathique, de pathologies limites, plutôt que d'évoluer vers des névroses.
Dans le déterminisme de ces troubles on peut schématiquement relever : soit une entrave à l'appétit cognitif quiescent de l'enfant, liée aux difficultés et conflits psychologiques qu'il rencontre ; soit le caractère authentiquement phobogène du savoir scolaire, alors vécu par lui comme dangereux et recélant des éléments qu'il souhaite méconnaitre ou garder à distance.
(Source: Dictionnaire de la Psychiatrie des éditions du CILF :
www.cilf.fr )
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