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Une nouvelle étude menée par des chercheurs de Harvard et Stanford affirme qu'un travail stressant peut influer sur la durée de vie. Cela varie considérablement en fonction des races, du niveau d'éducation et des sexes indiquent les universitaires. Le fait de mourir plus ou moins jeune serait surtout influencé par la précarité de l’emploi, les licenciements fréquents ou la difficulté à retrouver un nouveau travail, estiment le s chercheurs .
Selon cette étude américaine relayée par le Washington Post , la p eur de perdre son emploi, les horaires épuisantes, les heures supplémentaires non payées ou encore la présence de collègues irascibles est un environnement tressant qui peut faire perdre jusqu’à 33 ans d’espérance de vie.
Les personnes ayant un niveau faible niveau d'études bas subissent le plus de stress et ont plus de risques de mourir prématurément.
Par le passé, une étude avait déjà démontré que les hommes et les femmes ayant moins de douze années de scolarité ou d'études supérieures derrière eux avaient la même espérance de vie qu'un adulte des années 50 ou 60.
Ce qui «tue» les femmes est principalement lié aux horaires alternés trop fatigants. Quant aux hommes, ils seraient plus atteints par un climat d'insécurité. «Il est indispensable de créer des environnements de travail plus viables, surtout pour les travailleurs n’ayant pas fait d'études supérieures. Vous vous tuez littéralement au travail, commente le quotidien. Heureusement, pour la plupart de ces problèmes, y compris les horaires alternés, les heures supplémentaires et le travail non rémunéré, des solutions relativement simples existent: il suffit de modifier le règlement intérieur des entreprises.»
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